Vendredi 24 novembre 5 24 /11 /Nov 10:37

gagball.jpg J'arrive devant son appartement et je trouve la porte entreouverte. Je frappe légèrement mais je ne perçois aucune réponse. J'ose alors passer la tête par l'entrebaillement de la porte, et j'aperçois un mot en évidence sur le guéridon. Le mot est tout simple : "Entre, esclave".

J'entre alors dans l'appartement, je referme la porte derrière moi, je m'avance dans le living et voit un autre mot sur la table basse du salon : "Voici ta tenue appropriée à ta condition. Enfile-la, puis enchaîne-toi les chevilles ainsi que les poignets derrière le dos avec les bracelets en cuir, ferme-les avec les cadenas, et bâillonne-toi bien serré, je vérifierai. Laisse les clés des cadenas sur la table basse".

Sur la table basse, il y a cinq cadenas, des bracelets en cuir pour poignets, des bracelets en cuir pour chevilles, reliés par une chaine d'environ 15 centimètres et un bâillon-boule harnais, composé de plusieurs lanières de cuir à attacher autour de la tête et d'une boule centrale pour enfoncer dans la bouche. La tenue, quant à elle, est composée d'une minijupe noire moulante et brillante, d'un petit tablier blanc en dentelles, d'un chemisier blanc avec des froufrous, d'un string noir, d'un soutien-gorge assorti, de bas noirs, d'un porte-jarretelles noir, d'escarpins noirs brillants à ma taille, d'un bandeau en dentelle blanche pour mettre dans les cheveux et même d'une perruque de long cheveux chatains! Bref, une vraie tenue de soubrette, complète de A à Z. Je m'attendais à tout sauf à ça.

Après avoir passé tout ce matériel en revue, j'ai un moment d'hésitation et de remise en question. Après tout, je ne l'ai jamais vue en réel, et ça ne fait que deux mois que l'on se connait par internet et par téléphone, passant de longues soirées à nous raconter nos fantasmes. Le problème de ce rendez-vous, c'est que je ne sais pas du tout à quoi m'attendre : j'ai juste accepté de me soumettre à elle pendant une demi-journée. Elle m'a dit qu'elle me réservait des surprises, d'accord, mais moi je pensais qu'on boirait un verre pour faire connaissance avant de rentrer dans le vif du sujet... Pour une entrée en matière, c'est assez rapide.

Je suis donc assez fébrile, et après avoir passé pratiquement une minute à hésiter, l'envie de concrétiser mes fantasmes devient la plus forte et je décide de me lancer. Je me déshabille complètement et j'enfile la tenue complète. Vu mon état d'excitation, mains tremblantes, je galère plusieurs minutes avant d'arriver à fixer les bas nylons aux jarretelles. J'ajuste la perruque et je chausse les escarpins. Je me dis que je n'arriverais jamais à marcher avec ces talons aiguilles si mes chevilles sont en plus enchainées, mais je ne vais pas commencer à discuter les ordres dès le début. Je m'assieds alors sur le divan pour fixer les bracelets noirs à mes chevilles, que je ferme par deux cadenas. La chaine entre les chevilles est assez courte.

Ensuite, je prends le bâillon ; j'enfonce la boule rouge dans ma bouche et je tends les lanières derrière ma tête, assez serrées, comme l'a demandé Maîtresse, et je ferme les boucles. Cela fait, je n'oublie pas de me passer le petit bandeau en dentelle blanche dans les cheveux. Je dépose ensuite les deux cadenas sur la table basse.

J'ai ensuite encore un moment d'hésitation. Je me dis que, si j'attache les mains, je serai à la merci d'une inconnue, et sans pouvoir appeller à l'aide. Là encore, l'envie est trop forte. Je décide d'aller jusqu'au bout. J'entoure mes poignets des bracelets, je les ferme avec les cadenas, je les mets dans le dos et là je dois me contorsionner pour pouvoir fermer le cadenas qui reliera les deux bracelets. En effet, dans le dos, il n'y aucune chaine entre les deux bracelets mais uniquement le cadenas. Au bout de 30 secondes d'essais, j'entends "clic". Ca y est, le cadenas est fermé. Mains dans le dos, je jette alors les trois cadenas à côté des deux autres, sur la table basse.

J'attends alors au milieu de la pièce, ainsi vêtu et harnaché, me sentant un peu ridicule tout en étant assez excité.

J'entends alors un bruit de porte qui s'ouvre. Je me doutais un peu que la Maitresse était présente, mais qu'elle attendait dans une pièce annexe que j'exécute ses directives. La porte ouverte, une superbe créature métisse apparaît dans l'encadrement. L'air assez sévère, de taille moyenne, mince, elle porte un tailleur noir assez court, des bas et des bottes noires à talons. Elle a les cheveux noirs et lisses jusqu'aux épaules. Elle a une cravache noire dans une main et un collier dans l'autre. Elle me jauge du regard, je ne sais plus où me mettre, alors je baisse les yeux.

Elle reste comme ça plusieurs secondes à me fixer du regard, sans mot dire. Elle s'approche alors de moi assez lentement, me contourne, et, toujours sans mot dire, me passe le collier de cuir autour du cou et le referme.

C'est alors, qu'à ma grande surprise, elle lance "c'est bon, tu peux venir". A ma plus grande stupeur, un homme assez grand et costaud apparaît alors de la pièce voisine. Il est vêtu d'un smoking noir, tout simplement. Je suis horrifié, ce n'était pas du tout prévu, nous n'avons jamais évoqué une tierce personne dans le jeu, et encore moins de sexe masculin. Je regarde alors la Maitresse, l'implorant du regard et tentant de faire jaillir des mots du bâillon, qui ne doivent ressembler qu'à des sons inarticulés.

Je me prends alors un coup de cravache sur les fesses, sans trop de mal grâce à la jupe, suivi d'un "Tais-toi, esclave! Tu as voulu être un esclave, tu vas en être un. Tu vas nous servir comme soubrette, mon ami et moi, et sans discuter. D'ailleurs, tu vas rester attaché et bâillonné. Je veux être sûre que tu ne prennes pas la fuite. Maintenant, à genoux!".

La mort dans l'âme, je me dis que je vais quand même jouer le jeu, de toutes façons je ne vois pas d'autre échappatoire. Dans ma tête, toutes sortes d'idées se bousculent, je me dis que je suis sans doute tombé sur une dingue... Bref, je m'agenouille, mais, à cause de la chaine des chevilles, je dois pratiquement me laisser tomber à genoux. Heureusement que le sol est recouvert de moquette.

Ma tortionnaire va alors chercher quelque chose dans la pièce voisine et revient avec une sorte de plateau noir, qu'elle fixe autour de ma taille via deux chaines tendues aux deux coins, qu'elle accroche ensuite à mon collier et via une ceinture qui tient le plateau horizontalement autour de ma taille, contre mon ventre.

L'ami de la Maitresse s'éclipse et revient avec deux verres à pieds et une bouteille de champagne. Il pose le tout sur mon plateau, et ils s'asseyent dans le divan, face à moi, toujours à genoux à terre.

- "Nous allons prendre l'apéritif. Toi, tu ne bouges pas d'un poil, sale esclave désobéissant. Si tu fais tomber les verres, tu seras sévèrement puni".

Ils se versent alors le champagne et commencent à trinquer. Je ne peux que les regarder, mais je deviens vite très gêné car de la bave commence à me dégouliner le long du menton, à cause du bâillon-boule. Pendant qu'ils boivent, ils me contemplent et font toutes sortes de réflexions, qui me m'inquiètent pour la suite :

- "Alors, qu'est-ce que tu penses de ma nouvelle soubrette?"

- "Pas mal, assez féminine..."

- "Elle te fait bander"?

- "Ouais, assez, je dois dire"

- "Mmh, coquin, déjà...Tu trouves sa tenue comment?"

- "Très sexy... C'est toi qui l'a choisie, telle que je te connais"?

- "Oui, je voulais vraiment une tenue qui fasse très soumise..."

- "Je te reconnais bien là. Tu as toujours été une vraie perverse"

- "Tu trouves ses fesses comment"?

- "Elles sont super bien roulées et bien moulées dans sa petite jupe, j'adore et d'ailleurs tu le sais très bien!"

- "Oui, mais j'aime te l'entendre dire et je veux que ma soumise l'entende aussi...Je veux qu'elle sache ce qui l'attend..."

- "En tout cas, laisse-lui son bâillon jusqu'au bout, ça m'excite encore plus quand elles sont totalement impuissantes".

- "Je sais, ne t'inquiète pas. Pour moi aussi, un bon esclave c'est un esclave bâillonné. N'est-ce pas petite soubrette?"

Je réponds alors par un "mmmhhhhppfff" étouffé par le bâillon. Je vois alors la main de la Maitresse qui se pose sur le pantalon de son ami, suivi d'un :

- "mmh, on est déjà bien gonflé, je vois..."

- "oui, ta soumise m'excite beaucoup..."

La Maitresse se lève alors et me détache le plateau. Elle m'ordonne d'avancer à genoux vers le divan, ce que je fais avec difficulté. Arrivé devant l'ami elle m'attrape l'arrière de la tête par les sangles en cuir et me force à me pencher vers son pantalon. Je me dis en moi-même "non, ce n'est pas possible, je n'ai jamais fait ça, et ça ne me tente pas!"

Elle appuie très fort, je ne peux pas résister et la boule de mon bâillon se retrouve contre son sexe que je sens tendu derrière son pantalon. Ma Maitresse fait alors aller ma tête de haut en bas, le long de son sexe. La boule de mon bâillon, pleine de bave, le branle lentement, à travers son pantalon. Si on m'avait dit que je me retrouverais dans cette situation un jour, je ne l'aurais jamais cru. La maitresse continue à imprimer son mouvement de haut en bas, en me tenant solidement la tête et son ami commence à haleter.

Mais le pire, c'est que cette situation extrêmement humiliante commence à m'exciter et je me mets à bander aussi, ce qui n'est pas très confortable dans un string dame. Je décide d'accélérer alors le mouvement de moi-même, décidé à en finir le plus vite possible.

- "Mais regardez-moi ça, c'est qu'elle y met de l'ardeur, ma petite soumise...ne me dis pas que branler un mec avec ton bâillon t'excite, quand même?"

- "mmmmmhhhppff"

C'est alors que le gars se lève d'un coup, ouvre son pantalon, baisse son boxer, et me passe son sexe tendu et gonflé sur le visage. Je gémis dans mon bâillon car je me dis qu'ils vont m'obliger à lui faire une fellation, mais je veux l'éviter à tout prix.

Ma Maitresse intervient :

- "non, pour l'instant, elle ne te suce pas, je veux que tu lui éjacules sur le visage, je veux qu'elle se sente moins que rien, je veux qu'elle soit humiliée".

- "mais..."

- "ne t'inquiète pas, tu auras tout le loisir qu'elle te suce, n'oublie pas qu'on va la garder ici en cage..."

Résigné, l'homme acquiese et dirige alors son sexe vers ma bouche bâillonnée et commence à se masturber. Pendant ce temps, ma Maîtresse me maintient la tête bien en face des deux mains, sans doute pour éviter que j'évite les jets au dernier moment. Elle se penche alors à mon oreille et me chuchote : "tu vas en prendre plein le visage, petite chienne".

Au bout de quelques secondes, l'homme pousse un râle et plusieurs giclées de sperme me jaillissent au visage, particulièrement sur la boule de mon bâillon, sur mes lèvres et sur mon menton.

Je n'en mène pas large, ma honte est tellement intense que je baisse les yeux ; c'est alors que ma Maîtresse se poste devant moi armée d'un appareil photo numérique. Non, elle ne va quand même pas me prendre en photo dans cette situation déplorable! J'essaie de protester mais le bâillon étouffe les sons : "mmmhhhhhh mmmhhfff". Un sourire aux lèvres, elle appuie alors sur le déclencheur et le flash crépite. Elle commence par prendre deux ou trois plans larges, puis elle se rapproche de mon visage et prends des gros plans. J'ai le réflexe de baisser mon visage, mais elle demande au gars de me tenir la tête pendant qu'elle immortalise la scène, ce qu'il fait avec plaisir.

"Voilà", dit-elle, "ces photos, c'est premièrement pour ma collection personnelle, et deuxièmement, pour te garder bien docile...en effet, si tu n'es pas sage, je serai au regret de les publier sur mon blog..."

A suivre...

Vous pouvez me contacter par email : jupe@hotmail.fr

Par Plaxmanta
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Lundi 17 novembre 1 17 /11 /Nov 19:36

room.jpgHier soir, c'était une occasion un peu spéciale. Ma copine, avec qui je vis maintenant depuis un an, s'était habillée de façon très sexy pendant que je me trouvais dans la salle de bain. J'étais en fait parti prendre ma douche et, quand j'eus terminé, elle se trouvait assise dans le divan avec une minijupe noire, des bas noirs et un chemisier moulant en dentelle blanche. Elle avait également mis des botillons noirs à talons aiguilles...

Quand j'ai vu le spectacle, mon sang n'a fait qu'un tour et je me suis approché d'elle pour lui sauter dessus. Elle m'a repoussé et annoncé "non non, ce soir, on fait joujou". J'adore quand elle m'annonce ça car elle est assez imaginative, elle renouvelle chaque fois son stock d'idées. De temps en temps, on change les rôles et c'est moi qui la domine...

"Tout à l'heure, après le boulot, je suis passée dans un magasin pour t'acheter des trucs, et tu vas les mettre", m'annonce-t-elle de but en blanc avec une certaine sévérité dans le regard.

Elle a alors sorti un grand sac plastique d'une grande enseigne de fringues de sous la table de salon et me l'a tendu avec un sourire. A l'intérieur, il y avait tout un nécessaire pour se féminiser : un porte-jarretelles, des bas, un string noir, un soutien-gorge noir, une minijupe moulante, un corset et des talons-aiguilles à ma taille.

J'ai souri en voyant tout le matériel. Je n'ai pas été gêné outre mesure car on s'est déjà adonné à ce genre de jeu. Elle n'a pas utilisé les anciens vêtements qu'on avait encore, sans doute pour renouveler un peu le jeu.


Bref, j'ai tout enfilé en me demandant ce qui allait advenir par la suite. Elle m'a aidé à accrocher le porte-jarretelles sur les bas parce que pour un mec, ce n'est jamais facile. Elle a aussi fermé le corset à l'arrière sans le serrer au maximum quand même, car elle m'a annoncé que je le garderai pendant quelques heures.

Quand je fus entièrement habillé, elle m'a demandé de mettre mes bras dans le dos et m'a passé des bracelets noirs en cuir à chaque poignet, qu'elle a fermé par des cadenas, et elle les a reliés l'un à l'autre par un cadenas au centre. Hum, le jeu commençait à m'exciter... Elle m'a alors dit d'ouvrir la bouche et m'a glissé un bâillon-boule rouge dedans, un modèle avec beaucoup de lanières, derrière la tête et aussi au-dessus de la tête, un harnais complet qu'elle a serré avec plusieurs boucles.

"Hmm, t'es pas mal comme ça, t'es assez mignonne". Je n'en menais pas large, à part gémir je ne savais pas faire grand'chose.

Ensuite, elle m'a fait m'agenouiller et m'a attaché les chevilles et les genoux avec le même type de bracelets en cuir. Je ne pouvais plus bouger mes jambes, il m'aurait été impossible de tenter de me relever sans tomber sur le côté.

"Tu te souviens du fantasme dont je t'avais parlé? Tu sais, celui où je te disais qu'avoir deux mecs pour toute la nuit me plairait beaucoup? Tu avais même dit que ça ne te dérangerait pas trop et que, peut-être même, ça t'excitait..."

"Et bien j'ai trouvé quelqu'un sur internet à qui ça plairait bien aussi. T'inquiètes hein, j'ai déjà beaucoup discuté avec lui, je l'ai même rencontré autour d'un verre pour être bien sûr qu'on était sur la même longueur d'ondes".

Puis elle s'est mise à pouffer doucement, j'ignorais pourquoi mais n'allait pas tarder à le savoir... Elle m'annonça en effet :

"Bon...en fait...il va arriver dans cinq minutes".

Je n'en revenais pas. J'ai commencé à émettre des sons pour lui faire part de mon mécontentement mais elle m'a fait "tût tût tût, tu te tais maintenant". On va faire de toi notre esclave...

C'est alors que carillon a sonné. Elle m'a regardé avec un petit sourire ironique et est partie ouvrir la porte. C'était la honte de ma vie... Un mec, que je n'avais jamais vu, allait me voir comme ça, féminisé, attaché et bâillonné, à genoux dans mon salon.

Un mec plutôt bien, style classique, est alors entré dans le salon. Ma copine a tamisé la lumière avec le dimmer et a dit "je te présente mon copain, qui sera notre esclave sexuel toute la nuit". Elle paraissait surexcitée. Elle avait les yeux brillants et le regard un peu pervers. "Mais comme nous ne sommes qu'en début de soirée, on va regarder un petit DVD avant d'aller dans la chambre... Mais avant, j'aimerais que tu marques notre esclave pour montrer qu'il t'appartient pour le reste de la nuit".

Elle est alors passée derrière lui, a déboutonné son jean, a pris son sexe en main et a commencé à le masturber. Juste devant mon visage! J'ai alors compris ce qui m'attendait. J'ai alors essayé de bouger et reculer mon visage, mais ma copine, voyant cela, m'a contourné, s'est calée derrière moi et m'a maintenu la tête entre ses mains. Elle m'a alors chuchoté à l'oreille ; "Ne bouge pas, esclave, je veux que tu en aies bien partout... Ca t'excites à chaque fois quand tu éjacules sur mon visage, alors ça devrait t'exciter aussi de le subir non?"

Le mec continuait à se masturbait seul... Il émettait de petits grognements, puis de plus en plus rapprochés, de plus en plus forts, et j'ai alors senti de longs jets chauds m'asperger le visage... Ca a duré une dizaine de secondes, ma copine me maintenait toujours la tête. Je sentais que j'en avais partout, mais surtout sur la boule de mon bâillon, sur mes lèvres et sur mon menton. D'ailleurs, ça s'est mis à couler de mon menton jusque sur ma jupe et mes bas... Le pire dans tout ça, c'est que ça m'avait excité, je bandais ferme...

"Tu restes comme ça, on se repose un peu en regardant un DVD puis on va dans la chambre".

Ils se sont alors installés dans le divan, m'ont laissé comme ça, plein de sperme sur le visage, et ont regardé leur DVD.

Deux heures plus tard, ils m'avaient installé dans le grand lit double. Ils m'avaient détaché les jambes mais m'avaient laissé les menottes aux poignets et le bâillon dans la bouche. J'étais couché sur le ventre. Ma copine a alors dit au mec "tiens, tu pourrais lui mettre ça dans la bouche à la place de l'autre pendant que je m'apprête?". Je me demandais ce qu'ils me réservaient...

Le mec s'est alors mis à califourchon au-dessus de moi, m'a enlevé le bâillon-boule, et, avant que je puisse dire le moindre mot, m'a mis un bâillon-anneau d'environ 5 cm de diamètre, qu'il a serré derrière mon cou grâce à une lanière de cuir. Ma copine m'a alors dit "désolé chéri, mais ce bâillon sera plus fonctionnel, tu vas devoir nous servir toute la nuit, et aussi bien lui que moi". Pendant qu'elle parlait, j'entendais des cliquetis... Je me demandais ce qu'elle faisait.

Quand elle est apparue dans mon champ de vision quelques secondes plus tard, j'ai compris : elle avait attaché une ceinture-gode noire autour de sa taille. Elle s'est mise tout prêt de mon visage et m'a dit "tu vas voir, ça va te plaire...".

Elle s'est alors positionnée derrière moi, a remonté ma jupe, a baissé mon string, et a commencé à m'enfoncer le gode, bien lubrifié avec de l'huile, entre les fesses... Cela faisait, le mec n'a pas été en reste : il m'a mis un gros coussin sous le torse pour me surelever d'une quinzaine de centimètres, s'est assis devant moi et m'a mis sa queue dans la bouche. Avec un bâillon-anneau, il pouvait faire de moi ce qu'il voulait, impossible de refuser quoi que ce soit...

A l'arrière, une fois que le gode fût bien enfoncé, ma copine a commencé à faire des vas et vients.. D'abord lentement, puis de plus en plus vite... Comme le gode-ceinture que nous possédons est un modèle double (un gode vers l'avant et un gode vers l'arrière, pour celle qui le porte), au plus elle allait en cadence, au plus elle gémissait aussi. Et pendant ce temps-là, le mec accélérait aussi, il me pilonnait la bouche. Parfois il s'enfonçait plus loin, j'avais un peu de mal à respirer. Surtout avec le corset.

Ma copine, surexcitée, disait des obsénités du genre "t'aimes te faire sodomiser en suçant une bonne queue hein? T'inquiètes, je vais bien t'enculer et lui va t'en mettre plein dans la bouche".

Au bout de plusieurs minutes de ce régime, le mec a finit par éjaculer dans ma bouche, ma copine a eu un orgasme en même temps et moi, en l'entendant jouir, je n'ai pas tarder à les suivre...

Dire que ce n'était que le début de la nuit...

Par Plaxmanta
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Lundi 7 mai 1 07 /05 /Mai 23:50

IMG 4224J'arrive devant son appartement et je trouve la porte entreouverte. Je frappe légèrement mais je ne perçois aucune réponse. J'ose alors passer la tête par l'entrebaillement de la porte, et j'aperçois un mot en évidence sur le guéridon. Le mot est tout simple : "Entre, esclave".

J'entre alors dans l'appartement, je referme la porte derrière moi, je m'avance dans le living et voit un autre mot sur la table basse du salon : "Voici ta tenue appropriée à ta condition. Enfile-la, puis enchaîne-toi les chevilles ainsi que les poignets derrière le dos avec les bracelets en cuir, ferme-les avec les cadenas, et bâillonne-toi bien serré, je vérifierai. Laisse les clés des cadenas sur la table basse".

Sur la table basse, il y a cinq cadenas, des bracelets en cuir pour poignets, des bracelets en cuir pour chevilles, reliés par une chaine d'environ 15 centimètres et un bâillon-boule harnais, composé de plusieurs lanières de cuir à attacher autour de la tête et d'une boule centrale pour enfoncer dans la bouche. La tenue, quant à elle, est composée d'une minijupe noire moulante et brillante, d'un petit tablier blanc en dentelles, d'un chemisier blanc avec des froufrous, d'un string noir, d'un soutien-gorge assorti, de bas noirs, d'un porte-jarretelles noir, d'escarpins noirs brillants à ma taille, d'un bandeau en dentelle blanche pour mettre dans les cheveux et même d'une perruque de long cheveux chatains! Bref, une vraie tenue de soubrette, complète de A à Z. Je m'attendais à tout sauf à ça.

Après avoir passé tout ce matériel en revue, j'ai un moment d'hésitation et de remise en question. Après tout, je ne l'ai jamais vue en réel, et ça ne fait que deux mois que l'on se connait par internet et par téléphone, passant de longues soirées à nous raconter nos fantasmes. Le problème de ce rendez-vous, c'est que je ne sais pas du tout à quoi m'attendre : j'ai juste accepté de me soumettre à elle pendant une demi-journée. Elle m'a dit qu'elle me réservait des surprises, d'accord, mais moi je pensais qu'on boirait un verre pour faire connaissance avant de rentrer dans le vif du sujet... Pour une entrée en matière, c'est assez rapide.

Je suis donc assez fébrile, et après avoir passé pratiquement une minute à hésiter, l'envie de concrétiser mes fantasmes devient la plus forte et je décide de me lancer. Je me déshabille complètement et j'enfile la tenue complète. Vu mon état d'excitation, mains tremblantes, je galère plusieurs minutes avant d'arriver à fixer les bas nylons aux jarretelles. J'ajuste la perruque et je chausse les escarpins. Je me dis que je n'arriverais jamais à marcher avec ces talons aiguilles si mes chevilles sont en plus enchainées, mais je ne vais pas commencer à discuter les ordres dès le début. Je m'assieds alors sur le divan pour fixer les bracelets noirs à mes chevilles, que je ferme par deux cadenas. La chaine entre les chevilles est assez courte. Ensuite, je prends le bâillon ; j'enfonce la boule rouge dans ma bouche et je tends les lanières derrière ma tête, assez serrées, comme l'a demandé Maîtresse, et je ferme les boucles. Cela fait, je n'oublie pas de me passer le petit bandeau en dentelle blanche dans les cheveux. Je dépose ensuite les deux cadenas sur la table basse.

J'ai ensuite encore un moment d'hésitation. Je me dis que, si j'attache les mains, je serai à la merci d'une inconnue, et sans pouvoir appeller à l'aide. Là encore, l'envie est trop forte. Je décide d'aller jusqu'au bout. J'entoure mes poignets des bracelets, je les ferme avec les cadenas, je les mets dans le dos et là je dois me contorsionner pour pouvoir fermer le cadenas qui reliera les deux bracelets. En effet, dans le dos, il n'y aucune chaine entre les deux bracelets mais uniquement le cadenas. Au bout de 30 secondes d'essais, j'entends "clic". Ca y est, le cadenas est fermé. Mains dans le dos, je jette alors les trois cadenas à côté des deux autres, sur la table basse.

J'attends alors au milieu de la pièce, ainsi vêtu et harnaché, me sentant un peu ridicule tout en étant assez excité.

C'est alors que j'entends un bruit de porte qui s'ouvre. Je me doutais un peu que la Maitresse était présente, mais qu'elle attendait dans une pièce annexe que j'exécute ses directives. La porte ouverte, une superbe créature métisse apparaît dans l'encadrement. L'air assez sévère, de taille moyenne, mince, elle porte un tailleur noir assez court, des bas et des bottes noires à talons. Elle a les cheveux noirs et lisses jusqu'aux épaules. Elle a une cravache noire dans une main et un collier dans l'autre. Elle me jauge du regard, je ne sais plus où me mettre, alors je baisse les yeux. Elle reste comme ça plusieurs secondes à me fixer du regard, sans mot dire. Elle s'approche alors de moi assez lentement, me contourne, et, toujours sans mot dire, me passe le collier de cuir autour du cou et le referme.

C'est alors, qu'à ma grande surprise, elle lance "c'est bon, tu peux venir". A ma plus grande stupeur, un homme assez grand et costaud apparaît alors de la pièce voisine. Il est vêtu d'un smoking noir, tout simplement. Je suis horrifié, ce n'était pas du tout prévu, nous n'avons jamais évoqué une tierce personne dans le jeu, et encore moins de sexe masculin. Je regarde alors la Maitresse, l'implorant du regard et tentant de faire jaillir des mots du bâillon, qui ne doivent ressembler qu'à des sons inarticulés.

Je me prends alors un coup de cravache sur les fesses, sans trop de mal grâce à la jupe, suivi d'un "Tais-toi, esclave! Tu as voulu être un esclave, tu vas en être un. Tu vas nous servir comme soubrette, mon ami et moi, et sans discuter. D'ailleurs, tu vas rester attaché et bâillonné. Je veux être sûre que tu ne prennes pas la fuite. Maintenant, à genoux!".

La mort dans l'âme, je me dis que je vais quand même jouer le jeu, de toutes façons je ne vois pas d'autre échappatoire. Dans ma tête, toutes sortes d'idées se bousculent, je me dis que je suis sans doute tombé sur une dingue... Bref, je m'agenouille, mais, à cause de la chaine des chevilles, je dois pratiquement me laisser tomber à genoux. Heureusement que le sol est recouvert de moquette.

Ma tortionnaire va alors chercher quelque chose dans la pièce voisine et revient avec une sorte de plateau noir, qu'elle fixe autour de ma taille via deux chaines tendues aux deux coins, qu'elle accroche ensuite à mon collier et via une ceinture qui tient le plateau horizontalement autour de ma taille, contre mon ventre.

L'ami de la Maitresse s'éclipse et revient avec deux verres à pieds et une bouteille de champagne. Il pose le tout sur mon plateau, et ils s'asseyent dans le divan, face à moi, toujours à genoux à terre.

- "Nous allons prendre l'apéritif. Toi, tu ne bouges pas d'un poil, sale esclave désobéissant. Si tu fais tomber les verres, tu seras sévèrement puni".

Ils se versent alors le champagne et commencent à trinquer. Je ne peux que les regarder, mais je deviens vite très gêné car de la bave commence à me dégouliner le long du menton, à cause du bâillon-boule. Pendant qu'ils boivent, ils me contemplent et font toutes sortes de réflexions, qui me m'inquiètent pour la suite :

- "Alors, qu'est-ce que tu penses de ma nouvelle soubrette?"
- "Pas mal, assez féminine..."
- "Elle te fait bander"?
- "Ouais, assez je dois dire"
- "Mmh, coquin, déjà...Tu trouves sa tenue comment?"
- "Très sexy... C'est toi qui l'a choisie, telle que je te connais"?
- "Oui, je voulais vraiment une tenue qui fasse très soumise..."
- "Je te reconnais bien là. Tu as toujours été une vraie perverse"
- "Tu trouves ses fesses comment"?
- "Elles sont super bien roulées et bien moulées dans sa petite jupe, j'adore et d'ailleurs tu le sais très bien!"
- "Oui, mais j'aime te l'entendre dire et je veux que ma soumise l'entende aussi...Je veux qu'elle sache ce qui l'attend..."
- "En tout cas, laisse-lui son bâillon jusqu'au bout, ça m'excite encore plus quand elles sont totalement impuissantes".
- "Je sais, ne t'inquiète pas. Pour moi aussi, un bon esclave c'est un esclave bâillonné. N'est-ce pas petite soubrette?"

Je réponds alors par un "mmmhhhhppfff" étouffé par le bâillon. Je vois alors la main de la Maitresse qui se pose sur le pantalon de son ami, suivi d'un :

- "mmh, on est déjà bien gonflé, je vois..."
- "oui, ta soumise m'excite beaucoup..."

La Maitresse se lève alors et me détache le plateau. Elle m'ordonne d'avancer à genoux vers le divan, ce que je fais avec difficulté. Arrivé devant l'ami elle m'attrape l'arrière de la tête par les sangles en cuir et me force à me pencher vers son pantalon. Je me dis en moi-même "non, ce n'est pas possible, je n'ai jamais fait ça, et ça ne me tente pas!"

Elle appuit très fort, je ne peux pas résister et la boule de mon bâillon se retrouve contre son sexe que je sens tendu derrière son pantalon.

Ma Maitresse fait alors aller ma tête de haut en bas, le long de son sexe. La boule de mon bâillon, pleine de bave, le branle lentement, à travers son pantalon. Si on m'avait dit que je me retrouverais dans cette situation un jour, je ne l'aurais jamais cru. La maitresse continue à imprimer son mouvement de haut en bas, en me tenant solidement la tête et son ami commence à haleter. Mais le pire, c'est que cette situation extrêmement humiliante commence à m'exciter et je me mets à bander aussi, ce qui n'est pas très confortable dans un string dame. Je décide d'accélérer alors le mouvement de moi-même, décidé à en finir le plus vite possible.

- "Mais regardez-moi ça, c'est qu'elle y met de l'ardeur, ma petite soumise...ne me dis pas que branler un mec avec ton bâillon t'excite, quand même?"

- "mmmmmhhhppff"

C'est alors que le gars se lève d'un coup, ouvre son pantalon, baisse son boxer, et me passe son sexe tendu et gonflé sur le visage. Je gémis dans mon bâillon car je me dis qu'ils vont m'obliger à lui faire une fellation, mais je veux l'éviter à tout prix.

Ma Maitresse intervient :

- "non, pour l'instant, elle ne te suce pas, je veux que tu lui éjacules sur le visage, je veux qu'elle se sente moins que rien, je veux qu'elle soit humiliée".


- "mais..."
- "ne t'inquiète pas, tu auras tout le loisir qu'elle te suce, n'oublie pas qu'on va la garder ici en cage..."

Résigné, l'homme acquiese et dirige alors son sexe vers ma bouche bâillonnée et commence à se masturber. Pendant ce temps, ma Maîtresse me maintient la tête bien en face des deux mains, sans doute pour éviter que j'évite les jets au dernier moment. Elle se penche alors à mon oreille et me chuchote : "tu vas en prendre plein le visage, petite chienne".

Au bout de quelques secondes, l'homme pousse un râle et plusieurs giclées de sperme me jaillissent au visage, particulièrement sur la boule de mon bâillon, sur mes lèvres et sur mon menton.

Je n'en mène pas large, ma honte est tellement intense que je baisse les yeux ; c'est alors que ma Maîtresse se poste devant moi armée d'un appareil photo numérique. Non, elle ne va quand même pas me prendre en photo dans cette situation déplorable! J'essaie de protester mais le bâillon étouffe les sons : "mmmhhhhhh mmmhhfff". Un sourire aux lèvres, elle appuie alors sur le déclencheur et le flash crépite. Elle commence par prendre deux ou trois plans larges, puis elle se rapproche de mon visage et prends des gros plans. J'ai le réflexe de baisser mon visage, mais elle demande au gars de me tenir la tête pendant qu'elle immortalise la scène, ce qu'il fait avec plaisir.

"Voilà", dit-elle, "ces photos, c'est premièrement pour ma collection personnelle, et deuxièmement, pour te garder bien docile...en effet, si tu n'es pas sage, je serai au regret de publier tes jolis portraits sur mon blog..."

A suivre...

Vous pouvez, si vous le désirez, me contacter sur MSN : jupe@hotmail.fr

Par Plaxmanta
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 14:05

Depuis quelques semaines, je me rendais de façon hebdomadaire chez une Maîtresse du Nord de la France que j'avais rencontré via Internet. Elle avait 24 ans, était étudiante mais louait un bel appartement et était très mignonne. D'un commun accord, nous avions décidé que je serai sa soubrette.

Chaque fois, le rituel était le même : à mon arrivée, et sans prononcer un mot, elle me montrait un grand sac où était rangé tout le matériel. Elle avait été elle-même m'acheter mes fringues en m'affirmant que pour tout ce que j'allais faire, ce n'était pas cher payé.

Je revêtais alors ma tenue : une minijupe noire avec deux bandes de dentelle blanche et un petit tablier blanc (photo ci-contre), un porte-jarretelles avec des bas noirs assortis, un string noir en satin, des escarpins en vinyl (taille 42!), et un bustier rose à lacets, rembourré aux seins. Elle me maquillait ensuite légèrement et me mettait une perruque de longs cheveux châtains pour parfaire l'aspect.

Cela fait, je devais alors m'agenouiller devant elle et elle me passait des bracelets de cuir noir aux chevilles et au-dessus des coudes, ainsi qu'un collier. Elle reliait alors mes chevilles par une courte chaîne de 15 cm, ainsi que mes coudes, reliés dans mon dos par un cadenas. Elle aimait me voir ainsi, humilié et avec des mouvements réduits à leur strict minimum. Mes coudes étant bloqués en arrière, je pouvais uniquement bouger légèrement mes mains devant moi, ce qui était suffisant pour ce qui m'attendait : le ménage.

Elle complétait toujours mon harnachement par un harnais composé de lanières en cuir qui entouraient ma tête et maintenaient un bâillon-boule dans ma bouche. Une fois le harnais bien serré, elle me contemplait et disait en riant :

- De toutes façons, une bonniche n'a quand même pas besoin de pouvoir parler !

Ma Maîtresse me donnait alors un plumeau rose et je devais commencer par enlever toutes les poussières de son appartement. A cause de mes chaînes, je faisais des petits pas, et cette simple tâche me prenait environ 1h. De plus, après 15 ou 20 minutes, je bavais partout à cause du bâillon et ma Maîtresse y prenait un plaisir sadique :

"J'adore te voir ainsi réduit à ta condition naturelle, celle d'esclave, docile, humilié et bavant partout. Je dois te l'avouer, ça m'excite assez bien..."

Pendant mon ménage, elle me suivait partout avec une cravache en main et s'il restait un seul grain de poussière oublié, elle sautait sur l'occasion pour me punir sévèrement de 10 coups de cravache bien sentis sur les fesses. Et ça fait mal, la cravache.

La semaine dernière, elle m'avait réservé une surprise différente des autres fois. A peine étais-je habillé en soubrette qu'elle m'annonça :

- Pas de ménage aujourd'hui, mais mets-toi à genoux comme d'habitude, mains dans le dos"!

Elle m'attacha alors les poignets et les coudes bien serrés avec de la corde blanche. Elle avait également acheté un nouveau bâillon : un bâillon-gode, c'est-à-dire une lanière de cuir qui maintient un gode court mais large dans la bouche.

- J'espère que ce bâillon emplit bien ta petite bouche ma soubrette ! J'ai envie que tu ressentes quel effet ça fait de sucer...

Elle me traîna alors dans sa chambre, me poussa à plat ventre sur le lit et m'annonça :

- Aujourd'hui, j'ai envie de te sodomiser, ça achèvera ta transformation en soubrette. Je vais te prendre par derrière, de gré ou de force, et ne t'inquiètes pas : je compte te prendre bien profond.

J'ai ensuite entendu un cliquetis, comme un bruit de ceinture qu'on boucle, et quelques secondes plus tard, elle est réapparue devant moi affublée d'un gode ceinture noir, un sourire aux lèvres.

- Alors, ça te plaît ?

J'ai étouffé un son comme "hhmmmff" dans mon bâillon. Elle s'est alors couchée au-dessus de moi, m'a écarté les jambes avec ses genoux, m'a mis du lubrifiant entre les fesses et y a ensuite positionné le gode.

- Tu vas voir ce que tu vas prendre, m'a-t-elle chuchoté à l'oreille...

Elle a alors commencé à donner de petits coups de reins pour enfoncer doucement le gode en moi. Je le sentais me pénétrer de plus en plus loin. Une fois au bout, elle est restée comme ça plus d'une minute, sans bouger, pour habituer mon cul à cet objet. C'est alors qu'elle a commencé à faire des vas et vients, d'abord lents puis de plus en plus rapides. Au bout de quelques minutes, elle a encore accéléré la cadence, me faisant presque rebondir sur le lit tant elle me pilonnait. Je poussais des gémissements de plus en plus forts, tandis qu'elle haletait :

- Ca te plaît de te faire sodomiser hein ? Je savais que t'aimerais ça. Moi j'adore te défoncer en tout cas !

Apparemment, elle avait l'air de prendre son pied autant je prenais le mien. Au bout de dix minutes, j'étais tellement excité que j'ai fini par éjaculer dans ma jupe, mais elle me secouait tellement que je ne crois pas qu'elle l'ait remarqué. Je me demandais alors si elle allait s'arrêter car, à ce régime, ma vue commençait se brouiller. Elle a du lire dans mes pensées car elle m'a dit :

- T'aimerais que j'arrête hein ? Mais c'est moi qui décide, je suis la Maîtresse et tu n'es qu'une soubrette, alors je t'enculerai pendant des heures si je veux, comme tu le mérites !

Elle a continué à me prendre comme ça pendant encore vingt minutes, en diminuant parfois la cadence, et parfois en la ré-augmentant. J'ai eu un deuxième orgasme. Elle s'est ensuite retirée, en nage, et m'a annoncé :

- Dorénavant, chaque fois que tu viendras, après ton ménage, tu auras droit à ce traitement...

 

Mon MSN : jupe@hotmail.fr

Par Plaxmanta
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 18:57

Cela faisait maintenant trois semaines que l'on se parlait via Internet. Quand je dis "on", il s'agit de moi et d'une jeune personne de 28 ans appelée Anaïs et possédant un sérieux penchant pour la domination et le BDSM...

Quand elle m'a invité à venir chez elle, elle m'a bien précisé "prends trois jours de congé". Inutile de vous dire que j'étais très intrigué et fébrile les jours qui précédèrent et plus encore le soir où je me suis présenté devant sa porte, celle d'une maison mitoyenne "classique", quelque part en Belgique. Elle m'avait précisé "je veux que tu sois habillé normalement". J'étais donc vêtu d'un jean et d'un t-shirt foncé.

Après quelques secondes d'attente, j'entendis la porte s'ouvrir et vis apparaître devant moi une superbe créature mince, d'environ 165 cm avec des cheveux châtains mi-longs et paraissant plus jeune que son âge, environ 24 ans. Anaïs était vêtue d'un chemisier blanc, d'une minijupe plissée grise, de bas couleur chair brillants et de bottes noires à talons. Moi qui croyait que toutes les maîtresses revêtaient toujours des vêtements de cuir ou de latex noir de la tête aux pieds...

- Et bien, ne reste pas planté là, entre!
- Euh, d'accord


J'entrais alors dans le hall, puis elle m'introduisit dans un grand salon, avec un joli feu ouvert. Elle me pria de m'asseoir et alla chercher une bouteille de vin, que nous bûmes tout à notre aise, assis dans de grands fauteuils, en discutant de tout et de rien.

Après environ une heure, Anaïs me demanda, du tac au tac, ce qui me laissa interloqué quelques secondes :

- Maintenant que tu parais plus décontracté, tu es toujours d'accord pour devenir mon esclave?
- Euh oui je crois...
- Bien, alors à partir de maintenant, tu m'appelles "Maîtresse", compris?
- Oui Maîtresse.
- Donne-moi ton GSM, je veux être sûre que personne ne nous dérangera.
- Mais...
- Obéis!


Penaud, je m'exécutais. Anaïs l'éteignit et le rangeat dans une armoire.

- Bien, maintenant déshabille-toi. Tu ne pensais quand même pas qu'un esclave allait rester habillé?

Une fois entièrement nu, Anaïs m'étudia de la tête aux pieds, en me demandant de tourner sur moi-même.

- Mmh, pas mal, tu es tout à fait à mon goût...tu es assez musclé, dis-moi...


Apparemment satisfaite, elle se dirigea vers une grande malle dans un coin de la pièce, farfouilla dedans, et en ressortit quatre bracelets en cuir avec des cadenas et un string noir pour homme. Elle se tourna vers moi, un sourire aux lèvres, et me lança le matériel en disant :

- Tiens, mets ta tenue d'esclave! Mets aussi les bracelets à tes poignets et à tes chevilles, bien serrés, et tu les fermes avec les cadenas.

Très gêné, j'enfilais le string et fixait chaque bracelet à mes membres.

Anaïs eu l'air satisfaite, puis vint vers moi avec un objet qu'elle avait dans les mains mais qui m'avait échappé. C'était une forme allongée en plastique transparent. Devant mon regard interrogateur, elle m'expliqua :

- C'est une cage de chasteté pour homme... Tu es ici pour me servir comme esclave à temps-plein, pas pour jouir. Avec ça, tu resteras bien docile, dit-elle en me fixant l'objet autour de mon sexe et en le fermant avec un cadenas autour de mes parties.

Ensuite, elle me contourna, attrapa mes bras et me les tira derrière le dos. J'étais étonné de la force d'Anaïs, elle qui devait faire dans les 45-50kg... Elle fixa mes poignets derrière mon dos en reliant les bracelets entre-eux avec un cadenas. Puis, elle alla de nouveau chercher quelque chose dans la malle et en ressortit deux autres bracelets, deux chaînes, un collier et un autre objet que je n'identifiais pas.

Elle fixa les deux autres bracelets juste au-dessus de mes coudes et les relia par une chaîne d'à peu près 15cm de longueur, ce qui fait que mes bras étaient assez serrés. Elle se pencha et fixa une chaîne d'une vingtaine de centimètres entre les bracelets de mes chevilles. Ensuite, elle me mit autour du cou un collier en cuir noir assez large. J'étais maintenant bien attaché et assez angoissé sur la suite des événements... Après tout, je ne la connaissais pas...

- A genoux!

L'ordre fusa, je sursautais en l'entendant, puis m'exécutais, en manquant de m'étaler, à cause de la chaîne de mes pieds. Je commençais à avoir une érection très forte, mais celle-ci était réprimée par la cage de chasteté. A partir d'un certain moment, ça faisait mal et je devais faire un effort de concentration pour ne plus m'exciter.

Elle se positionna derrière moi, et exhiba un harnais en cuir noir avec une boule rouge au milieu. Je connaissais bien-sûr l'objet car je l'avais déjà vu sur les nombreuses photos que j'avais vu sur Internet, mais ne l'avais jamais expérimenté...

- Tu connais?
- Non...(je mentis)
- C'est un bâillon d'esclave... on appelle ça aussi bâillon-boule. Je déteste les esclaves qui peuvent parler. Je pars du principe qu'un esclave doit rester silencieux quoiqu'il arrive, et ceci t'y aidera. Tu resteras bâillonné 24h sur 24, sauf quand tu mangeras. Pendant tes repas, si j'entends un mot, un seul, sortir de ta bouche d'esclave, je te le remets illico et tu seras sévèrement puni... compris?
- Oui Maîtresse.
- Bien. Ceci est ton dernier mot. Tu peux encore tout arrêter et rentrer chez toi, après ce ne sera plus possible. Veux-tu continuer?
- Oui Maîtresse.
- Bien, ouvre la bouche.


Anaïs m'introduisit la boule de latex rouge dans la bouche et entreprit de boucler les lanières en cuir autour de ma tête une par une. J'en avais autour du menton, autour de la tête et même deux qui remontaient de la boule autour de mon nez pour finir derrière mon crâne. Anaïs serrait les lanières assez fort mais pas au point de me faire mal.

Cette situation, à genoux, enchaîné et bâillonné avec ce harnais était très humiliante, et je n'osais pas regarder ma Maîtresse dans les yeux. Je la vis partir vers un meuble et revenir avec un appareil photo numérique.

- Non, pas ça! Pensais-je. Elle ne va quand même pas me prendre en photo dans cet accoutrement. Surtout qu'elle pourrait les publier sur Internet, ou que sais-je...!

Je fis "non" de la tête à Anaïs, en poussant des gémissements.

Elle se posta devant moi, ignorant mes plaintes, et pris plusieurs photos en plan large, ainsi que plusieurs de mon visage en gros plan.

- C'est pour ma collection personnelle, finit-elle par annoncer.

- Bon, la soirée est déjà bien entamée, il est plus de minuit, nous allons aller nous coucher... nous avons beaucoup à faire demain...

Sur ces mots, elle attacha une chaîne au collier et s'en servit comme laisse.

- Tu me suis, esclave.

J'essayais désespérement de me relever, mais Anaïs me jeta un regard noir :

- Qui t'a dit de te relever!? Tu me suis à genoux, sale chien, c'est ta condition!

Le bâillon-boule m'empêchait d'avaler ma salive et je commençais à baver abondamment. Ma Maîtresse le vit et me dit :

- En plus je vois que tu baves comme un animal.

Après avoir traversé trois pièces de la maison, mes genoux étaient très douloureux et ce fut avec satisfaction que nous sortîmes et traversâmes une pelouse jusqu'à un abri de jardin.

Nous entrâmes dans l'abri et je fus abasourdi en voyant une cage d'environ 120 cm de long, 70cm de large et 80cm de haut. Elle était dotée de gros barreaux en acier d'à peu près 1cm de diamètre et un coussin recouvrait tout le fond.

- C'est là que tu vas dormir, mon soumis...

Tout mon être se révolta à cette idée. J'étais plus que d'accord pour expérimenter le bondage et même le SM et l'humiliation, mais là, c'était trop. Je n'étais pas préparé à ça. Je n'allais quand même pas passer la nuit là-dedans, attaché comme un animal!

Ma Maîtresse passa derrière moi et déserra les lanières de mon bâillon. Elle m'annonça :

- Je retire ton bâillon mais ne te fais pas d'illusions : je vais t'en remettre un autre. Pour la nuit, il est préférable que tu ais un bâillon-anneau au cas où tu es malade.

- Maîtresse Anaïs, écoutez, je ne suis pas du tout p...

Je fus interrompu par une gifle magistrale.

- Je t'avais dit de ne jamais dire un mot quand je t'enlevais ton bâillon! Si c'est pour me dire que tu n'es pas d'accord pour dormir dans cette cage, tu n'as pas le choix!

Pendant qu'elle parlait, elle avait agrippé un bâillon-anneau sur une étagère et me le força dans la bouche. C'était en fait un anneau noir d'environ 5cm qui me gardait la bouche grande ouverte et maintenu fermement par une lanière derrière la tête.

- Tu seras puni pour avoir osé parler. Maintenant, entre dans ta cage!

Je ne bougeais pas. Anaïs ouvrit un côté de la cage, et me tira à l'intérieur, avec la chaîne. La cage était tellement petite que j'étais serré et ne pouvait tenir qu'à genoux, et courbé vers l'avant. Ma Maîtresse fermat la cage avec un cadenas.

- Maintenant, ta punition... tu vas passer une mauvaise nuit...

Sur ce, elle prit une barre en métal d'un mètre et le passat horizontalement entre les barreaux de la cage, auxquels elle fixa, et entre mes bras attachés et mon dos. Ce qui avait pour effet de maintenant mes coudes assez haut dans la cage. Puis elle attacha une chaîne à mon collier et l'attacha au fond de la cage, me tirant au maximum vers l'avant. Mon visage était maintenant à 10cm du sol et, avec l'anneau et ma bouche grande ouverte, beaucoup de bave coulait au fond. La position était très inconfortable. Je me demandais comment j'allais tenir toute la nuit comme cela.

Anaïs se releva, contempla son oeuvre et hocha la tête.

Ensuite, elle éteignit la lumière et me dit :

- A demain esclave, dors bien...

Tiré d'une histoire vraie...

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Par Plaxmanta
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