Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 18:57

Cela faisait maintenant trois semaines que l'on se parlait via Internet. Quand je dis "on", il s'agit de moi et d'une jeune personne de 28 ans appelée Anaïs et possédant un sérieux penchant pour la domination et le BDSM...

Quand elle m'a invité à venir chez elle, elle m'a bien précisé "prends trois jours de congé". Inutile de vous dire que j'étais très intrigué et fébrile les jours qui précédèrent et plus encore le soir où je me suis présenté devant sa porte, celle d'une maison mitoyenne "classique", quelque part en Belgique. Elle m'avait précisé "je veux que tu sois habillé normalement". J'étais donc vêtu d'un jean et d'un t-shirt foncé.

Après quelques secondes d'attente, j'entendis la porte s'ouvrir et vis apparaître devant moi une superbe créature mince, d'environ 165 cm avec des cheveux châtains mi-longs et paraissant plus jeune que son âge, environ 24 ans. Anaïs était vêtue d'un chemisier blanc, d'une minijupe plissée grise, de bas couleur chair brillants et de bottes noires à talons. Moi qui croyait que toutes les maîtresses revêtaient toujours des vêtements de cuir ou de latex noir de la tête aux pieds...

- Et bien, ne reste pas planté là, entre!
- Euh, d'accord


J'entrais alors dans le hall, puis elle m'introduisit dans un grand salon, avec un joli feu ouvert. Elle me pria de m'asseoir et alla chercher une bouteille de vin, que nous bûmes tout à notre aise, assis dans de grands fauteuils, en discutant de tout et de rien.

Après environ une heure, Anaïs me demanda, du tac au tac, ce qui me laissa interloqué quelques secondes :

- Maintenant que tu parais plus décontracté, tu es toujours d'accord pour devenir mon esclave?
- Euh oui je crois...
- Bien, alors à partir de maintenant, tu m'appelles "Maîtresse", compris?
- Oui Maîtresse.
- Donne-moi ton GSM, je veux être sûre que personne ne nous dérangera.
- Mais...
- Obéis!


Penaud, je m'exécutais. Anaïs l'éteignit et le rangeat dans une armoire.

- Bien, maintenant déshabille-toi. Tu ne pensais quand même pas qu'un esclave allait rester habillé?

Une fois entièrement nu, Anaïs m'étudia de la tête aux pieds, en me demandant de tourner sur moi-même.

- Mmh, pas mal, tu es tout à fait à mon goût...tu es assez musclé, dis-moi...


Apparemment satisfaite, elle se dirigea vers une grande malle dans un coin de la pièce, farfouilla dedans, et en ressortit quatre bracelets en cuir avec des cadenas et un string noir pour homme. Elle se tourna vers moi, un sourire aux lèvres, et me lança le matériel en disant :

- Tiens, mets ta tenue d'esclave! Mets aussi les bracelets à tes poignets et à tes chevilles, bien serrés, et tu les fermes avec les cadenas.

Très gêné, j'enfilais le string et fixait chaque bracelet à mes membres.

Anaïs eu l'air satisfaite, puis vint vers moi avec un objet qu'elle avait dans les mains mais qui m'avait échappé. C'était une forme allongée en plastique transparent. Devant mon regard interrogateur, elle m'expliqua :

- C'est une cage de chasteté pour homme... Tu es ici pour me servir comme esclave à temps-plein, pas pour jouir. Avec ça, tu resteras bien docile, dit-elle en me fixant l'objet autour de mon sexe et en le fermant avec un cadenas autour de mes parties.

Ensuite, elle me contourna, attrapa mes bras et me les tira derrière le dos. J'étais étonné de la force d'Anaïs, elle qui devait faire dans les 45-50kg... Elle fixa mes poignets derrière mon dos en reliant les bracelets entre-eux avec un cadenas. Puis, elle alla de nouveau chercher quelque chose dans la malle et en ressortit deux autres bracelets, deux chaînes, un collier et un autre objet que je n'identifiais pas.

Elle fixa les deux autres bracelets juste au-dessus de mes coudes et les relia par une chaîne d'à peu près 15cm de longueur, ce qui fait que mes bras étaient assez serrés. Elle se pencha et fixa une chaîne d'une vingtaine de centimètres entre les bracelets de mes chevilles. Ensuite, elle me mit autour du cou un collier en cuir noir assez large. J'étais maintenant bien attaché et assez angoissé sur la suite des événements... Après tout, je ne la connaissais pas...

- A genoux!

L'ordre fusa, je sursautais en l'entendant, puis m'exécutais, en manquant de m'étaler, à cause de la chaîne de mes pieds. Je commençais à avoir une érection très forte, mais celle-ci était réprimée par la cage de chasteté. A partir d'un certain moment, ça faisait mal et je devais faire un effort de concentration pour ne plus m'exciter.

Elle se positionna derrière moi, et exhiba un harnais en cuir noir avec une boule rouge au milieu. Je connaissais bien-sûr l'objet car je l'avais déjà vu sur les nombreuses photos que j'avais vu sur Internet, mais ne l'avais jamais expérimenté...

- Tu connais?
- Non...(je mentis)
- C'est un bâillon d'esclave... on appelle ça aussi bâillon-boule. Je déteste les esclaves qui peuvent parler. Je pars du principe qu'un esclave doit rester silencieux quoiqu'il arrive, et ceci t'y aidera. Tu resteras bâillonné 24h sur 24, sauf quand tu mangeras. Pendant tes repas, si j'entends un mot, un seul, sortir de ta bouche d'esclave, je te le remets illico et tu seras sévèrement puni... compris?
- Oui Maîtresse.
- Bien. Ceci est ton dernier mot. Tu peux encore tout arrêter et rentrer chez toi, après ce ne sera plus possible. Veux-tu continuer?
- Oui Maîtresse.
- Bien, ouvre la bouche.


Anaïs m'introduisit la boule de latex rouge dans la bouche et entreprit de boucler les lanières en cuir autour de ma tête une par une. J'en avais autour du menton, autour de la tête et même deux qui remontaient de la boule autour de mon nez pour finir derrière mon crâne. Anaïs serrait les lanières assez fort mais pas au point de me faire mal.

Cette situation, à genoux, enchaîné et bâillonné avec ce harnais était très humiliante, et je n'osais pas regarder ma Maîtresse dans les yeux. Je la vis partir vers un meuble et revenir avec un appareil photo numérique.

- Non, pas ça! Pensais-je. Elle ne va quand même pas me prendre en photo dans cet accoutrement. Surtout qu'elle pourrait les publier sur Internet, ou que sais-je...!

Je fis "non" de la tête à Anaïs, en poussant des gémissements.

Elle se posta devant moi, ignorant mes plaintes, et pris plusieurs photos en plan large, ainsi que plusieurs de mon visage en gros plan.

- C'est pour ma collection personnelle, finit-elle par annoncer.

- Bon, la soirée est déjà bien entamée, il est plus de minuit, nous allons aller nous coucher... nous avons beaucoup à faire demain...

Sur ces mots, elle attacha une chaîne au collier et s'en servit comme laisse.

- Tu me suis, esclave.

J'essayais désespérement de me relever, mais Anaïs me jeta un regard noir :

- Qui t'a dit de te relever!? Tu me suis à genoux, sale chien, c'est ta condition!

Le bâillon-boule m'empêchait d'avaler ma salive et je commençais à baver abondamment. Ma Maîtresse le vit et me dit :

- En plus je vois que tu baves comme un animal.

Après avoir traversé trois pièces de la maison, mes genoux étaient très douloureux et ce fut avec satisfaction que nous sortîmes et traversâmes une pelouse jusqu'à un abri de jardin.

Nous entrâmes dans l'abri et je fus abasourdi en voyant une cage d'environ 120 cm de long, 70cm de large et 80cm de haut. Elle était dotée de gros barreaux en acier d'à peu près 1cm de diamètre et un coussin recouvrait tout le fond.

- C'est là que tu vas dormir, mon soumis...

Tout mon être se révolta à cette idée. J'étais plus que d'accord pour expérimenter le bondage et même le SM et l'humiliation, mais là, c'était trop. Je n'étais pas préparé à ça. Je n'allais quand même pas passer la nuit là-dedans, attaché comme un animal!

Ma Maîtresse passa derrière moi et déserra les lanières de mon bâillon. Elle m'annonça :

- Je retire ton bâillon mais ne te fais pas d'illusions : je vais t'en remettre un autre. Pour la nuit, il est préférable que tu ais un bâillon-anneau au cas où tu es malade.

- Maîtresse Anaïs, écoutez, je ne suis pas du tout p...

Je fus interrompu par une gifle magistrale.

- Je t'avais dit de ne jamais dire un mot quand je t'enlevais ton bâillon! Si c'est pour me dire que tu n'es pas d'accord pour dormir dans cette cage, tu n'as pas le choix!

Pendant qu'elle parlait, elle avait agrippé un bâillon-anneau sur une étagère et me le força dans la bouche. C'était en fait un anneau noir d'environ 5cm qui me gardait la bouche grande ouverte et maintenu fermement par une lanière derrière la tête.

- Tu seras puni pour avoir osé parler. Maintenant, entre dans ta cage!

Je ne bougeais pas. Anaïs ouvrit un côté de la cage, et me tira à l'intérieur, avec la chaîne. La cage était tellement petite que j'étais serré et ne pouvait tenir qu'à genoux, et courbé vers l'avant. Ma Maîtresse fermat la cage avec un cadenas.

- Maintenant, ta punition... tu vas passer une mauvaise nuit...

Sur ce, elle prit une barre en métal d'un mètre et le passat horizontalement entre les barreaux de la cage, auxquels elle fixa, et entre mes bras attachés et mon dos. Ce qui avait pour effet de maintenant mes coudes assez haut dans la cage. Puis elle attacha une chaîne à mon collier et l'attacha au fond de la cage, me tirant au maximum vers l'avant. Mon visage était maintenant à 10cm du sol et, avec l'anneau et ma bouche grande ouverte, beaucoup de bave coulait au fond. La position était très inconfortable. Je me demandais comment j'allais tenir toute la nuit comme cela.

Anaïs se releva, contempla son oeuvre et hocha la tête.

Ensuite, elle éteignit la lumière et me dit :

- A demain esclave, dors bien...

Tiré d'une histoire vraie...

Mon MSN : jupe@hotmail.fr

Par Plaxmanta
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